Tout d’abord très retissant à la création d’un blog de plus, j’ai finalement décider d’essayer ce nouveau canal de com qu’est lesdemocrates.fr, en me disant qu’il m’arrivait de produire du contenu MoDémo-MoDem qui pouvait s’y retrouver, ou du moins du contenu succeptible d’être intéressant en dehors de mes lecteurs habituels.
La difficulté réside dans le fait d’éclater la production de contenu sur tout un ta de supports différents. Le militant numérique se retrouve rapidement avec un blog, un compte facebook, un compte twitter, à commenter sur les blogs des autres, à proposer des contribution sur des blogs collaboratifs…
Jusqu’à présent j’ai choisi de faire de mon blog perso www.cedric-augustin.eu le pivot de toute mon identité numérique, et par exemple, mes twitt y sont forcément affichés. L’essentiel de ma production facebook (on va dire 80%) en est issu. Car si tous ces réseaux sociaux sont de jolies inventions, il n’en reste pas moins que l’on n’en a pas le contrôle. Notamment, la notion d’archive n’est pas clair.
Et si je fait confiance au Mouvement Démocrate, il n’en reste pas moins que la plate-forme de blog incluse dans lesdemocrates.fr est soumise elle aussi au bon vouloir du parti politique. Rappelons-nous que le site e-soutiens est aujourd’hui désactivé (merci de ne pas l’avoir supprimé, mais pour combien de temps encore ?). Il se trouve qu’à l’époque, j’avais fait quelques extractions d’un débat dont j’étais l’initiateur, recopiés sur mon blog, au grand dam des militants qui considéraient que cela enfreignait le caractère privé des échanges sur e-soutiens. Aujourd’hui c’est la seule trace publique qui reste de ces échanges pourtant très intéressants de l’époque de la construction du MoDem.
Donc, ce n’est pas une attitude de défiance, juste de prévoyance, mais le blog que j’ouvre sur http://cedricaugustin.lesdemocrates.fr restera une extension de mon blog perso, et donc désolé pour les redondances, mais il n’aura vocation qu’a recevoir des copies de billets déjà publiés par ailleurs.
Ben il ne me reste plus qu’à en écrire des billets…